Projet de recherche pour le développement et Projet de formation Sud

L'Equateur est l'un des premiers pays d’Amérique du Sud à avoir fait de l'environnement une priorité nationale. Le Plan Nacional del Buen Vivir (2013-2017) se concentre sur la gestion durable du patrimoine naturel et de la biodiversité, ainsi que sur l'atténuation et l'adaptation au changement climatique.

Le paludisme et les infections sexuellement transmises (IST) sont des problèmes de santé publique majeurs en Afrique. Ils sont associés au petit poids de naissance, à la prématurité, à la morbidité et à la mortalité néonatale et maternelle. Chez la femme enceinte, la prévention du paludisme et le traitement des IST se font actuellement par des canaux séparés.

Le tourisme est un secteur en pleine croissance dans de nombreux pays en voie de développement et l’écotourisme durable constitue un moyen efficace pour valoriser et protéger la biodiversité. Madagascar fait partie des pays à haut potentiel touristique.

La production d'une banane locale et durable est la finalité de ce projet de recherche. Cela passe par la mise au point de nouveaux hybrides, tolérants et résistants aux conditions environnementales.

Afin de diversifier l'économie de l'Equateur, ce projet va soutenir le développement d'un modèle alternatif de bioéconomie.

La création d'une plate-forme d’appui à la formation et à la sensibilisation, au diagnostic et au développement va améliorer le contrôle de la brucellose et de la trypanosomiase en Equateur

Avec à la clé un certificat de pédagogie universitaire, ce projet contribue au renforcement des compétences pédagogiques des enseignants de l'UA.

Les insectes sont considérés comme l’alternative aux protéines animales. Ce projet va permettre de mieux faire connaître leurs potentialités, tant pour les consommateurs que pour les producteurs.

Le Pérou vit au rythme d’une libéralisation économique croissante. Dans ce contexte sensible, ce projet va tenter une exploration interdisciplinaire de la dynamique familiale et communautaire.

Afin de réduire les risques associés aux tremblements de terre, ce projet va renforcer la formation des ressources humaines et développer de solutions innovantes basées, entre autres, sur la vulnérabilité des populations.

Devant l’intérêt du Bénin pour la viande de lapins, ce projet de recherche apporte des réponses économiques, génétiques et gastronomiques posées par la filière.

Bien établie en Bolivie, la culture du manioc offre actuellement de faible rendement. En intervenant sur les aspects économiques, sociaux et scientifiques, le projet doit améliorer la chaîne de production, tout en respectant les valeurs du développement durable.

Fragilisant le cheptel bovin équatorien et, par conséquent, les revenus des éleveurs, les tiques font l’objet d’une vaste étude socio-éco-épidémiologique pour comprendre leur impact sur la santé animale, l’environnement et la santé publique.

A l’Hôpital Panzi de Bukavu, tout est mis en place pour permettre aux femmes de retrouver leur dignité perdue, grâce notamment à une prise en charge holistique dite « One Stop Center ».

En RDC, la nécessaire prise en charge des traumas mentaux et physiques

Au Burkina Faso, la médecine traditionnelle assure les soins primaires de 80% de la population. Cependant, la sécurité du patient ayant recours aux remèdes traditionnels à base de plante n’est pas encore assurée.

L’arachide et ses dérivés sont des produits phares dans la plupart des pays de l’Afrique de l’Ouest. Au Bénin notamment, cette source de protéines végétale est très prisée et consommée sous différentes formes.

La pauvreté touche environ 40% de la population béninoise et seul 8,4% de la population est couverte par une forme d’assurance-maladie. Ce projet va permettre de développer la couverture santé universelle et de la rendre accessible au plus grand nombre.

Les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) renferment des substances toxiques et représentent un risque pour l’environnement et les populations si leur gestion n’est pas maitrisée.

Au Burkina Faso et au Bénin, les tiques se font nombreuses dans les troupeaux de bétail et sont responsables de transmission de maladies.

Au Burundi, les patient·es en soins psychiatriques ne bénéficient pas encore d’un programme de réhabilitation à la vie communautaire

Le projet CAMBOFISH contribue à améliorer l'accès aux connaissances et à la qualité de la recherche universitaire.

En Equateur, l’enseignement technique et professionnel n’est pas en adéquation avec les compétences recherchées sur le marché local.

La médecine traditionnelle malgache, disponible et abordable financièrement, peut renforcer la médecine moderne.

À Madagascar, les fourrés xérophiles sont victimes de la sécheresse, de l’agriculture et du charbon de bois, ce qui menace la sécurité alimentaire dans le sud-ouest du pays.

Le Maroc affiche de fortes inégalités territoriales et socio-économiques. Ce projet va impliquer les habitant·es des quartiers de relogement pour mieux répondre à leurs aspirations.

Vers une pratique plus performante de la chirurgie grâce à un enseignement de qualité en anatomie à UNILU

Dans l’est de la RDC, avec les acteurs de terrain, comprendre le chemin entre les faits et la justice.

L’accaparement des ressources naturelles fragilisent financièrement et socialement les jeunes, les femmes et les populations autochtones.

Des bières « Made in Rwanda » : le renforcement de la filière brassicole est en cours.

Au Sénégal, comme partout dans le monde, vivre dans la rue représente le plus grand danger de la déstabilisation et de désaffiliation sociale. Cette réalité constitue un défi important pour les acteurs politiques du travail social.

Un champignon menace la filière de la banane au Vietnam. Des innovations agro-écologiques pourraient endiguer la maladie.

Ce projet vise à réintroduire et à promouvoir les techniques de construction traditionnelles en terre. L'approche comprend la création de bâtiments pilotes pour démontrer les avantages des briques de terre comprimée (BTC).

Ce projet se concentre sur la recherche-développement pour restaurer les forêts claires à Isoberlinia dans le centre et le nord du Bénin. Il vise à développer des outils pour guider la restauration et la gestion durable de ces écosystèmes.

Ce projet se penche sur la question du retour en RD Congo des biens culturels et des dépouilles humaines africaines, pris pendant la période coloniale.

La protection du cyberespace est devenue essentielle pour la stabilité et le développement du Cameroun. Ce nouveau programme de formation vise à former des expert·e·s capables de gérer la sécurité des systèmes d'information, de mettre en œuvre des solutions de cybersécurité et d'auditer les infrastructures techniques.

Ce projet vise à résoudre le problème de l'insécurité alimentaire due aux pertes causées par les insectes nuisibles et les mycotoxines. Il ambitionne aussi de pérenniser la culture et la distillation de plantes à huile essentielle locales.

Ce projet prend son point de départ dans les limites des stratégies de sécurité actuellement en place dans la région du Sahel pour lutter contre le terrorisme.

Ce projet se concentre sur le développement des maricultures artisanales à Madagascar, une pratique où les communautés côtières produisent des organismes marins dans la zone des marées, en bord de côtes.

Le digital est considéré comme la 4ème révolution industrielle. Le projet développera ses activités autour du digital, tant dans sa composante de gouvernance, dans sa dimension citoyenne et dans une approche de développement.

Au Sénégal, l'agriculture fait face à des défis majeurs tels que la fluctuation des rendements, l’instabilité des prix sur les marchés mondiaux et la limitation des terres cultivables. Face à ce constat, le pays a placé la transition agroécologique parmi ses priorités.

Dans la région de Kisangani, la baisse de la qualité des prestations de soins de santé affecte sévèrement de la population. Le projet s’attaque aux défis liés à la qualité des médicaments et aux comportements inappropriés de la population dans leur consommation.

L'objectif de ce projet est d'améliorer la résilience des populations face à ces catastrophes socio-naturelles et, plus largement, de contribuer au développement durable de Bujumbura et du Burundi.

Ce projet propose une nouvelle voie de développement au secteur de l'aquaculture, tout en permettant de préserver la faune halieutique marocaine.

Fortement touché par le changement climatique et l'élévation du niveau de la mer, le delta du Mekong doit adapter ses pratiques d'élevage pour garantir la sécurité alimentaire au Vietnam.

En développant la filière de patate douce à chaire orange, ce projet vise à lutter contre la malnutrition et les maladies liées à la carence en vitamine A en Afrique de l'Ouest,

Fortement polluée, la baie de La Havane entraine d'énormes répercussions sur l'économie cubaine. Ce projet vise à l'amélioration de la qualité de l'eau dans les baies cubaines grâce à l'utilisation de technologies à faible coût.

Le projet WildSeed-Oil vise à valoriser les espèces de plantes oléagineuses sauvages (POS) en Afrique, dont le potentiel est sous-exploité.

Le Bénin est confronté à un défi alimentaire majeur en raison de la croissance de sa population et de la diminution des terres agricoles. Ce projet vise à développer et à promouvoir des pratiques agricoles durables basées sur l'agroécologie.

OHARIS est un programme de formation qui a pour ambition de former des professionnels capables d'évaluer et de gérer les risques liés aux maladies infectieuses émergentes.

Ciblé sur la banane et le plantain, l'objectif du projet est triple: diagnostiquer les contraintes biotiques affectant ces cultures, promouvoir des pratiques agroécologique et améliorer l'organisation de la filière.

Le Sénégal s'est résolument tourné vers les énergies renouvelables pour diversifier son approvisionnement énergétique. Pour contribuer à cette ambition, ce projet propose une assistante technique multisectorielle, ainsi que des formations et des séminaires.