Economie et entrepreneuriat

L’élevage de petits ruminants représente la principale source de revenu pour plus de deux millions de producteurs marocains. Il s’agit d’un levier de développement important des zones rurales marginales et d’amélioration du niveau de vie des populations locales. Les élevages sont familiaux, gérés par un savoir et un savoir-faire traditionnels.

Onze millions de jeunes africains arrivent sur le marché du travail chaque année. Malgré une croissance économique soutenue depuis des années et des progrès en termes d’éducation et de formation, la question de l’emploi des jeunes et de leur employabilité reste un défi majeur pour les pays d’Afrique.

Le tourisme est un secteur en pleine croissance dans de nombreux pays en voie de développement et l’écotourisme durable constitue un moyen efficace pour valoriser et protéger la biodiversité. Madagascar fait partie des pays à haut potentiel touristique.

Le lait caillé et le fromage wagashi gassiré comptent parmi les produits laitiers les plus consommés au Bénin. Ce projet WALAC vise à améliorer les procédés de production et de conservation de ces deux produits laitiers.

Englobant l’ensemble des problématiques de la GRH, ce projet va renforcer les compétences en gestion des ressources humaines et management en RDC.

30 jeunes Camerounais en formation expérimentent des matériaux de construction innovants.

Des bio-intrants, fabriqués à partir plantes locales dans une micro-bioraffinerie de Ouagadougou, pour remplacer les intrants de synthèse si nocifs à la santé.

Madagascar est un pays dont les activités maritimes jouent un rôle primordial dans la vie sociale et économique des habitants. Ce projet soutient l’aquaculture villageoise et va développer un bioplastique à partir de l’algue Spinosum.

Renforcer l’autonomie des femmes rurales par le développement de l'aviculture villageoise est l'objectif de cette synergie mise en oeuvre à Tillabéry.

L'auto-emploi est une voie que choisissent de nombreux universitaires béninois.

Les défis logistiques préoccupent le secteur économique béninois. Ce projet va localiser les entrepôts de stockage.

Ce projet vise à croiser les formations de deux institutions malgaches (IH.SM et Centre Don Bosco) actives à Tuléar afin de les renforcer mutuellement.

La dynamique entrepreneuriale des étudiants et des jeunes chercheurs est un accélérateur de développement. Cette Synergie et le projet SALEEM y contribue.

L'artisanat est un secteur pouvant contribuer à valoriser la place de la femme marocaine dans la société.

Le Maroc souhaite promouvoir des programmes d’insertion économique pour les jeunes et populations vulnérables via le soutien accordé notamment à l’auto-entrepreneuriat et aux Très Petites Entreprises (TPE).

Ce projet de synergie entend renforcer les compétences en GRH, en égalité professionnelle F/H et en gestion de la diversité des enseignants, mais aussi des managers du privé et du secteur associatif.

Faire face au coût élevé du carburant en misant sur des solutions alternatives végétales.

En 2022, en Bolivie, environ 273.000 familles boliviennes n’ont pas accès à l’électricité.

Au Burkina Faso, les industries agroalimentaires et extractives sont en pleine croissance et ont besoin de personnel qualifié et compétent en sciences analytiques.

Ce projet vise à réintroduire et à promouvoir les techniques de construction traditionnelles en terre. L'approche comprend la création de bâtiments pilotes pour démontrer les avantages des briques de terre comprimée (BTC).

Le projet WildSeed-Oil vise à valoriser les espèces de plantes oléagineuses sauvages (POS) en Afrique, dont le potentiel est sous-exploité.

Le Sénégal s'est résolument tourné vers les énergies renouvelables pour diversifier son approvisionnement énergétique. Pour contribuer à cette ambition, ce projet propose une assistante technique multisectorielle, ainsi que des formations et des séminaires.

Dans un pays essentiellement agricole, le développement du secteur apicole dans les milieux forestiers contribue non seulement à protéger l’environnement mais aussi à améliorer la qualité du miel produit et à augmenter la production agricole.

Ce patrimoine peut offrir des opportunités dans de nombreux domaines différents en permettant de valoriser les cultures, les traditions locales et la transmission orale et générationnelle.

Mis en œuvre à Kinshada, le projet « EntreComp Ya Bana Kin » a pour ambition d’aider ces diplômé·es, confronté·es à des difficultés d’emploi, à devenir des entrepreneurs et acteurs économiques contribuant à la dynamique de développement communautaire.