Réduire les risques de maladies lors des transhumances

Réduire les risques de maladies lors des transhumances

Dans toute l’Afrique de l’Ouest, l’élevage constitue une source de revenu pour 70% de la population. Au Burkina Faso, comme au Bénin, une partie importante de cet élevage est basé sur la transhumance des cheptels, à la recherche d’eau et de pâturages. Ces déplacements entre ces différents pays sont propices à la prolifération des maladies.

En l’absence d’un suivi sanitaire régulier permettant un meilleur contrôle de la circulation des maladies animales, ce secteur peut rapidement voir son économie être menacée.

Les acteurs de ce projet de synergie vont travailler étroitement avec les éleveurs afin de les sensibiliser sur l’importance des vaccinations et des traitements acaricides. Ils vont également assurer la formation des membres des réseaux d’épidémio-surveillance (RéSurEp). Ils vont enfin établir un cadre de collaboration et de concertation entre les centres de recherches, les universités et les réseaux partenaires du projet scientifique TransTicks, mis en œuvre entre le Burkina Faso et le Bénin.

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