Pays

L’ARES soutient les établissements d’enseignement supérieur francophones de Belgique dans leurs activités de coopération au développement. Celles-ci consistent à renforcer les capacités d’enseignement, de recherche et de services à la société de partenaires académiques en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

 

  • Burkina Faso

    Entre le Burkina Faso et la Belgique, il existe une longue tradition de coopération académique. Depuis les années 80, plus de 30 projets de formation et de recherche y ont été menés en collaboration avec les principales universités du pays. Objectif ? Mettre en place des conditions favorables à un enseignement et une recherche de qualité, pour répondre aux défis de la société burkinabè.

  • Belgique

    En Belgique, l’ARES développe des activités de renforcement des capacités individuelles des acteurs de développement des pays partenaires par des bourses et des formations, de sensibilisation et des programmes de recherche en appui à la politique.

  • Équateur

    Les premières relations de coopération académique entre les établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles et l’Université centrale d’Equateur (UCE) ont été initiées en 2014 pour répondre aux enjeux fixés par le Plan National pour le Bien Vivre. En plus de l’appui institutionnel ciblé sur cette institution, des projets de recherche sont menés avec l’EPN et la PUCE.

  • Bénin

    L’Université d’Abomey Calavi est un partenaire historique des universités de la Fédération Wallonie Bruxelles. Depuis 1997, un partenariat institutionnel renforce cette institution de référence au Bénin et dans la sous-région. D’autres partenaires académiques sont aussi impliqués par le biais de la recherche et de la formation, l’Université de Parakou et l'Institut Régional de Santé Publique.

  • Burundi

    Etablie à Bujumbura, l’Université du Burundi, principal établissement public d’enseignement supérieur, est un partenaire de coopération académique depuis 2000. Tant au travers de l’appui institutionnel que des projets de recherche et de formation, les partenariats mis en place tendent à rendre à cette université une place proéminente dans l’enseignement supérieur à l’échelle locale et régionale.

  • Haïti

    En Haïti, le programme de coopération mis en œuvre avec l’Université d’Etat d’Haïti existe depuis 2002. Il s’aligne aujourd’hui sur la Vision 2030 définie par les autorités haïtiennes pour fixer les orientations stratégiques. A travers cette coopération, il s’agit de fournir à la société haïtienne les compétences nécessaires à son développement et à son intégration dans le monde contemporain.

  • Cambodge

    L’Institut de technologie du Cambodge (ITC) est partenaire de coopération des établissements francophones d’enseignement supérieur depuis 1997. Les axes d’interventions portent sur le renforcement de l’enseignement et des capacités de recherche avec comme objectif de produire les savoirs et savoir-faire utiles à l’encadrement des progrès techniques et socio-économiques dont le Cambodge a besoin.

  • Philippines

    Les Philippines font partie des pays à revenu intermédiaire. Le pays bénéficie cependant d'une économie solide, le niveau d'éducation de la population est en moyenne de bonne qualité. L’éducation est reconnue comme un droit constitutionnel basique du citoyen et le gouvernement philippin a, ces dernières années, augmenté son budget en faveur d’une éducation plus accessible et de meilleure qualité.

  • Cameroun

    La recherche et la formation sont au cœur des interventions menées par les académiques belges au Cameroun depuis 2000. L’accroissement de l’expertise, celle des laboratoires et celle des nombreu·ses·x doctorant·e·s via leur séjour en Belgique, permet ainsi aux trois universités camerounaises partenaires de répondre plus efficacement aux enjeux de société et aux demandes du marché de l’emploi.

  • Niger

    Une coopération académique s’est développée dès 1999 avec l’Université Abdou Moumouni pour répondre à des enjeux spécifiques rencontrés par le Niger : les effets du changement climatique, la prévention des conflits et la sécurité alimentaire. Depuis 2014, cette coopération est complétée par un appui institutionnel destiné à relever la qualité et la pertinence de son enseignement.

  • Cuba

    L’éducation est une priorité des autorités cubaines. La coopération académique se concentre donc sur le renforcement des capacités dans le monde de la recherche. A moyen terme, le but est de renforcer et valoriser la contribution des acteurs académiques au développement humain durable. L’agronomie et l’agroécologie comptent parmi les secteurs d’intervention prioritaires.

  • Pérou

    Au Pérou, après avoir apporté un soutien à des initiatives de collaboration interuniversitaire, la coopération académique s’est concentrée, dès 2009, sur un seul acteur, l’Universidad Nacional de San Antonio Abad del Cusco (UNSAAC). Objectif ? Améliorer la qualité de l’enseignement et de la recherche et assurer une meilleure articulation avec le monde académique et la société péruvienne.

  • Vietnam

    La coopération académique de la Fédération Wallonie-Bruxelles a tissé des relations avec le Vietnam depuis les années 90 et a confirmé ce partenariat en 1997 par un programme d’appui institutionnel ciblé sur la Vietnamese National University of Agriculture (VNUA). D’autres partenaires académiques vietnamiens sont aussi impliqués dans le cadre de projets de recherche et de formation.

  • Rwanda

    L’Université du Rwanda et les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles sont partenaires depuis 1997. La coopération académique entre les deux pays s’est progressivement structurée autour d’un appui institutionnel, de la recherche et de la formation. Elle s’inscrit en filigrane des besoins exprimés par les autorités rwandaises, sensibles au renforcement du capital humain.

  • Maroc

    Une longue tradition de coopération académique et scientifique unit les établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie Bruxelles avec les universités et centres de recherche du Maroc. Depuis 1998, celle-ci contribue au renforcement des piliers traditionnels d’une université performante dans la perspective de préparer les jeunes marocains à relever les défis de ce 21ème siècle.

  • Madagascar

    A Madagascar, l’Université d’Antananarivo bénéficie d’un partenariat institutionnel depuis 2014. Il répond à la nécessité de renforcer l’offre académique en vue de mieux l’adapter aux besoins de la société malgache. L’environnement est aussi le point d’attention de projets de recherche et de formation, mis en œuvre avec le Centre Universitaire Régional de la SAVA et l’Université de Toliara.

  • Sénégal

    Le développement de l’enseignement supérieur est une priorité pour l’état sénégalais qui ambitionne de l’aligner sur les standards internationaux de pertinence et de qualité. C’est dans cette optique qu’une coopération académique a été mise en place, se concrétisant par le financement de projets de recherche et de formation, essentiellement dans le domaine de l’agronomie et de la santé.

  • Bolivie

    La science, la technologie et l’innovation figurent parmi les priorités de la coopération académique menée en Bolivie, étant de puissants leviers pour le développement économique et social du pays. Cela se traduit par un partenariat institutionnel avec l’Universidad Mayor de San Simón (UMSS) à Cochabamba et des collaborations ponctuelles avec l’Universidad Mayor de San Andrés (UMSA) à La Paz.

  • RD Congo

    La coopération académique que l’ARES mène en RDC avec le concours des universités de la Fédération Wallonie Bruxelles répond, depuis 1997, aux besoins exprimés par le monde universitaire congolais. Cela se traduit par une coopération institutionnelle avec les Universités de Kinshasa et de Lubumbashi. Plus ciblés, de nombreux partenariats académiques concernent aussi la recherche et la formation.