600.000. Voilà le nombre de décès engendrés par la Cryptococcose en Afrique subsaharienne. Cette maladie est provoquée par le Cryptococcus, un champignon présent dans les déchets organiques.
Il s’agit de l’infection la plus incriminée dans la morbidité et la mortalité liées au VIH. Elle est responsable de 15% de décès des personnes séropositives à travers le monde, dont 75% en Afrique subsaharienne.
Afin de réduire considérablement la mortalité liée à la Cryptococcose chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH), sont préconisés le dépistage primaire et la prise d’un traitement préventif antifongique à base de fluoconazole.
La République démocratique du Congo est parmi les pays qui n’ont pas encore incorporé le dépistage actif dans la politique de prise en charge de la cryptococcose chez les PVVIH.
Dans l’optique de réduire la morbidité et la mortalité liées à cette infection en RDC, le projet de synergie développé par les partenaires a pour objectif de proposer une stratégie de prévention primaire.
