Chaque année, l’ARES accorde des bourses à plus de 300 étudiant·es et/ou jeunes professionnel·les provenant des pays partenaires de la coopération académique, de même qu’à des jeunes belges souhaitant effectuer leur travail de fin d’études ou un stage dans l’un des ces pays. Qui sont ces personnes ? Quels sont leur histoire, leur projet, leur rêve ?
Chaque année, l’ARES accorde des bourses à plus de 300 étudiant·es et/ou jeunes professionnel·les provenant des pays partenaires de la coopération académique, de même qu’à des jeunes belges souhaitant effectuer leur travail de fin d’études ou un stage dans l’un des ces pays. Qui sont ces personnes ? Quels sont leur histoire, leur projet, leur rêve ?
Le renforcement des capacités tout au long du parcours des jeunes chercheur·es et et jeunes professionnel·les est un élément central du programme de coopération académique de l’ARES. Cela passe, entre autres, par l’octroi de bourses individuelles de mobilité, accessibles via les divers instruments de coopération, dans le cadre d’appels concurrentiels. En 2021, malgré le contexte difficile de la pandémie sanitaire, plus de 400 boursières et boursiers ont rejoint un établissement d’enseignement supérieur pour étudier, se former ou réaliser leur thèse de doctorat.
Le Pérou reste caractérisé par de puissantes inégalités sociales et régionales. Dans leur effort de développement, certaines universités jouent un rôle important, non seulement en raison de leur action dans le domaine de l’éducation et de la formation mais aussi en raison des effets culturels et économiques des programmes de recherche qu’elles animent. Deux livres illustrent cette complexité sociale en rappelant le rôle de l’université dans ce contexte.
Les 19 et 20 octobre 2021, l’Université du Burundi a accueilli le colloque « Biodiversité : héritage de la carrière scientifique et de l’engagement de Benoît Nzigidahera ». Ce colloque a rendu hommage à ce collaborateur de l’Université du Burundi (UB) mais aussi homme de référence reconnu internationalement dans le domaine de la biodiversité. Il était décédé en mai 2018.
Réunissant une centaine d’académiques belges et congolais, mais pas seulement, le colloque international de Kinshasa a jeté les bases d’une coopération post-Covid19. Ce jeudi 25 novembre 2021, en clôture de l’événement, Meryame Kitir, ministre belge de la Coopération, a appelé les universités à construire le monde de demain, un monde meilleur basé sur la solidarité entre les nations et les êtres humains.
Cela fait 20 mois que le Covid-19 s’est installé dans notre quotidien et modifie profondément nos vies sociales et professionnelles. La coopération académique et scientifique, construite essentiellement autour d’échanges internationaux, a été fortement impactée par cette crise. Quels en sont les effets, négatifs comme positifs, sur l’enseignement, la recherche ou la société en général ?
La Rentrée Climat a été organisée sur les campus de la HEG et de l'IHECS le vendredi 22 octobre. Elle s’est appuyée sur un outil spécifique : la Fresque du Climat.
Une centaine d’étudiants ont participé à la Rentrée Climat, qui offre l’occasion aux établissements de l'enseignement supérieur de former aux enjeux climatiques. Pour ce faire, ils ont eu la chance de prendre part à la Fresque du Climat, un atelier ludique de vulgarisation scientifique qui permet de comprendre le fonctionnement du changement climatique.
Mettre en œuvre une approche novatrice pour promouvoir une meilleure connaissance de l’histoire de la RD Congo en particulier et plus largement de l’Afrique, c’est l’objectif du projet BOKUNDOLI. Porté par les professeurs et historiens Elikia M'Bokolo et Jacob Sabakinu (décédé en janvier 2021), le projet ambitionne de revisiter l’Enseignement de l’Histoire Générale de l’Afrique et du Congo en particulier.
Depuis de nombreuses années, quatre universités francophones (ULB, UCLouvain, ULiège et UNamur) ont mis en place leurs propres ONG pour assurer le développement de leur coopération internationale, au-delà et en complément des activités de coopération universitaire menées notamment par l’ARES. Ces quatre ONG universitaires jouent un rôle essentiel et travaillent en étroite collaboration avec leurs universités respectives.